Pums
EXTRAIT
Politique Urbaine et Mixité Sociale
EXTRAIT
Le choix de vivre écartée des grandes villes et de l’espace forestier m’apporte un équilibre.
Quand j’ai découvert cette parcelle 1982, à l’écart de la route et jouxtant une forêt de bois non viabilisable, j’ai su que je pourrai m’installer en cet endroit. Je l’ai construit de mes mains et pendant deux ans le moindre espace temps était occupé à la construction.
L’accueil de nos voisins a été chaleureux et l’hiver on n’hésitait pas à recevoir ma fille de deux ans pour la mettre à l’abri du froid.
Mais mon autre voisin s’est inscrit dès le début des travaux dans une politique de procédure. En effet lors de l’abattage des arbres, l’un d’eux à eu le malheur de pencher sur son garage. Il est venu nous avertir qu’elle abritait deux voitures de valeur et cela allait nous coûter cher, très cher. Belle réception et je n’ai jamais pu oublier cet incident.
Mais je garde seulement à l’esprit l’accueil de ma fille.
EXTRAIT
J’étais déjà dans la période de7451 rachat par Elf de la Société pour laquelle je travaillais. Jamais dans ma famille, nous ne sommes allés au Tribunal et cette installation a été le début de demandes en réparation. C’est à se demander pourquoi ?????
Tout en restant à proximité de voisins, le regard se porte sur une forêt, bien sûr le jardin reste à l’état brut et l’on y essaye de la vigne. Elle n’y trouvera pas assez de ressources pour vivre. Le terrain fait de sable et de roches dures ne lui a pas permis de survivre. Nous nous sommes rattrapés sur des terrains plus généreux.
Le travail a toujours été
une partie intégrante de ma vie, j’aime à produire, me sentir utile. Le fondement
de ce foyer nous apporte les bases solides nécessaires pour créer notre
Exploitation.
Mais aujourd’hui je me butte à de nouvelles mesures qui sont
interprétées et appliquées d’inconvenantes manières.
Pour éviter le feu, depuis 1982, avec l’autorisation de
l’administration, j’entretenais la forêt
qui ne m’appartenait pas. Pour cette mitoyenneté j’ai demandé le privilège de
rachat de ces parcelles. Le vente publique a eu lieu sans moi et je reçois en
2009 une convocation à bornage. Une forêt qui est bornée, une dépense pour un
Propriétaire dans les îles bien onéreuse par rapport à cet achat. Je propose le
rachat, mais l’acheteur en face de moi signale « que ce n’est pas lui
l’acquéreur » Un bornage sans propriétaire avec sur le plan à signer le
nom de la personne qui est en face de moi……. Il se moque de qui ?
Je reste calme, mais
je refuse de signer. Les propositions sont insistantes :
Je réfectionne votre toiture contre l’accés au terrain.
Je construit une clôture sur votre parcelle………..
Le terrain acheté n’est pas viabilisable. Pas d’accés, de
facade sur la route, d’eau d’électricité…….